Rencontres musicales - Musicien "HolyMud" - Réalisation "DocuSpectacle"
A l’origine du projet CinéMouvant, très proche d'Abdelaziz Boussayer, rencontré à Aït Taleb Ouali en Avril 2013, Guillaume a su déployer l'énergie nécessaire pour s'entourer de ses collègues. Par ailleurs co-réalisateur de « Crossing The Line », musicien, ingénieur du son, concepteur d'outils informatique pour le spectacle, poète ; Guillaume participe au projet avec une sensibilité et une énergie débordante.
Réalisation "DocuSpectacle" - Logistique et production - Comédienne
Marie-Claire est auteure de plusieurs oeuvres, dont « Nina », qu'elle adapte et interprète en théâtre à Paris. Elle écrit par ailleurs des chroniques pour Mashallah News et vient de terminer son dernier roman. Elle a coréalisé le documentaire « Crossing the Line », développe actuellement son 2ème documentaire et travaille en production et régie audiovisuelle sur Paris. Fortement emprise par ses nombreux voyages, Marie-Claire porte son intérêt pour des projets engagés, qui tendent à une remise en question de nos modes de vie et pensées, de notre considération de la folie humaine et de la volonté de souffler, un peu plus, sur le monde, pour le pousser.
Réalisation "DocuSpectacle" - Chef Opérateur
Tout aussi passionné de prise de vue que de son, de lumière, d'écriture de scénario et de montage, Clément est par ailleurs co-réalisateur et cadreur de « Crossing The Line ». La caméra est un véritable troisième bras pour ce jeune chef opérateur qui s’est déjà affirmé dans de nombreux projets audiovisuels , captations de spectacles, fictions, en régions et à Paris, notamment dans le milieu de la musique. Il saura apporter une sensibilité humaine et artistique afin de créer le conte poétique que sera cette aventure.
Chargé de Production - Atelier musicaux/Rencontres Musicales - Musicien "HolyMud"
Simon est né au milieu des années 80. Chargé de production pour plusieurs compagnies bretonnes, il s'intéresse beaucoup aux rencontres artistiques pluridisciplinaires, en particulier dans le champ de l'improvisation et de l'expérimentation de tout poil. En tant que musicien, il travaille particulièrement sur les matières sonores, le minimalisme (et le maximalisme dans le cadre de son duo "Affreux-beat" avec Guillaume Tahon). Il est également musicien dans le vidéo-concert Holly Mud.
Musicien / Rencontres musicales
Goulven Ka est violoncelliste, chanteur et slameur. Rythmicien dans l’âme, son approche de l’instrument se démarque résolument des conventions classiques : accords jazzy, grooves de basse, jeux d’archets rythmiques, beat. À travers des textes poétiques, il décline sa vision du monde, invitant le public à explorer une gamme d’émotions très large.
Ateliers Vidéo - Image "HolyMud"
Membre du duo les Froh Faire avec Erwann Babin, Florian a été invité avec ce dernier à participer au projet Cinémouvant. Convaincu qu'une pratique artistique est nécessairement liée à un contexte, Florian essaye de faire de chaque lieu de rencontre un laboratoire de création. Présence et production comme dirait Thomas Hirschorn. C'est dans cette dynamique qu'il se propose de donner des ateliers autour du médium de la vidéo avec Erwann Babin afin que les productions réalisées soit autant de rencontres et de points de départ vers autre chose.
Ateliers Vidéo - Image "HolyMud"
Membre du duo des Froh Faire créé en 2012 avec Florian Stéphant. Réalisateur (ou co-réalisateur avec le binôme susmentionné) de plusieurs documentaires sur des artistes (Les Frères Ripoulain, Nikolas Fouré, le groupe Dur). Il espère fermement réussir à faire fonctionner un fond vert en plein désert, de manière à créer une porte d'embarquement vers nul part et partout. S'il n'y arrive pas, il trouvera un plan B.
Dans toutes les actions qu’elle entreprend, SCIM propose ses compétences professionnelles et son amour du cinéma pour assurer la promotion et la valorisation du cinéma sous toutes ses formes ainsi que la sauvegarde du patrimoine culturel marocain. SCIM forme une initiative novatrice et fédératrice destinée à améliorer les salles de cinéma nationales et à dynamiser les synergies entre les acteurs privés et publics. Largement soutenue par les festivals de films nationaux et internationaux, SCIM traite de toutes les problématiques relatives aux lacunes du secteur cinématographique au Maroc, mettant également en valeur des actions de proximité autour des cinémas du Maroc.
L’association Save cinemas in Marocco est née de la volonté de son Président Tarik Mounim d’alerter la population et les autorités sur les fermetures et les destructions des salles de cinéma. Au nombre de 35 en 2014 contre 280 il y a à peine 30 ans les cinémas du Maroc sont abandonnées et remplacées et menacées de destruction pour devenir des commerces, supermarchés ou zone d’immeuble. Depuis sa création en 2007, SCIM a prôné la valorisation du patrimoine architectural et culturel du Royaume, sensibilisant ainsi à la réhabilitation des salles de cinéma et inscrivant ses dernières à la liste des sites et monuments historiques. SCIM a également pu s’associer à des festivals de cinéma très prestigieux comme le Festival international du Film de Marrakech ou encore le Festival de Cannes, et ce, toujours dans le but de promouvoir et valoriser le cinéma et ses salles, et favoriser l’accès à cet univers culturel au grand public.
C’est dans ce contexte qu’Abdelaziz a mis en place « Ici et là-bas pour le développement », association locale de développement du village, effectuant ainsi un travail important et durable pour le bien-être des habitants. Ses actions sont très variées : aide à la création d'entreprise, cours d'anglais, création d’une petite bibliothèque, voyages à l'étranger, actions écologiques, construction de puits, actions culturelles… Abdelaziz est entouré d'une équipe nombreuse de bénévoles très engagés et très dynamiques qui assurent la qualité des actions entreprises par l'association. Professeur d’anglais et titulaire d’un master en linguistiques études anglaises avancées, Abdelaziz sera notre interprète référent pour la traduction Français-Arabe- Berbère.
Le village d’Ait Taleb fait partie de la commune de Lakhmis Dadez. Au niveau de la scolarisation, les conditions restent encore défavorisées ; le manque des infrastructures nécessaires qui permettraient l’accès à l’information dans de meilleures conditions est palpable, sans compter que de nombreuses familles souffrent de la pauvreté. La commune ne possède aucune bibliothèque publique, aucun centre culturel… Quant à la déscolarisation des filles, en ce milieu rural, il reste encore une réalité.